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66 – Perpignan : des riverains contestent des aménagements de la clinique St-Pierre

Le 20 mars à 11h04 par Gilbert Batlle | Mis à jour le 20 mars

Des résidents ont critiqué le parking payant de la clinique, le rendant responsable des problèmes de stationnement dans les rues attenantes.
Des résidents ont critiqué le parking payant de la clinique, le rendant responsable des problèmes de stationnement dans les rues attenantes.

Certains aménagements autour la clinique St-Pierre font grincer les dents des habitants.

Huit mois après la première visite sur le terrain, où en, est-on ? La nombreuse assistance composée de résidents des rues et place concernées (Eugène-Paz, Georges-Vallerey, Léo-Lagrange, Jean-Gallia et place Jean-Bouin) a pris connaissance, après huit mois d’enquêtes et d’études, des projets concernant cette zone. Autour de Chantal Gombert, maire du quartier Ouest, se trouvaient Virginie Barre, conseillère municipale, mais aussi M. Castany, au nom du secteur et M. Affre, ingénieur responsable de la voirie, M. Dunyach, directeur de la mairie Ouest, M. Moreau de la police municipale, M. Isern, président de l’association de quartier et enfin M. Dubac, directeur de la clinique Saint-Pierre. Ils ont animé les débats constructifs auxquels ont participé des résidents parfois contrariés.

Diapositives à l’appui, des résultats provisoires ont été présentés, relatifs aux problèmes récurrents du stationnement, de la vitesse, de l’établissement ou non de sens uniques et sur projets d’aménagement de la place Jean-Bouin, avec 35 places de stationnement ou encore l’implantation de nouvelles essences, de bancs, de containers enterrés… Le tout pour un coût de 128 000 euros. Ce projet a cependant été dénoncé avec véhémence par un résident, applaudi par une partie de l’assistance.

Des résidents ont critiqué le parking payant de la clinique, le rendant responsable des problèmes de stationnement dans les rues attenantes. M. Dubac a exprimé une nécessité imposée par un parcage abusif préjudiciable à court terme et en dévoilant des solutions pertinentes, mais mal appliquées. M. Moreau, de la police municipale, a rappelé que « le cas par cas et la verbalisation à la carte n’existent pas. Sauf dans le cas, par exemple, d’un stationnement intempestif devant une porte de garage. » Chantal Gombert a tenu à rassurer les résidents : « Je vous promets de poursuivre inlassablement les études sur le terrain, afin que, dans tous les cas, les solutions définitives satisfassent la majorité, car tout le monde en est conscient, l’unanimité est introuvable. »

 

 

 

source : http://www.lindependant.fr/2016/03/20/perpignan-des-riverains-contestent-des-amenagements-de-la-clinique-st-pierre,2172980.php

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